L’univers fantasque de Kasing Lung s’invite à Paris. La maison Moynat dévoile une collection capsule inédite en collaboration avec l’artiste hongkongais, célébrant la rencontre entre l’imaginaire poétique de The Monsters et l’excellence artisanale française.
Kasing Lung, connu pour ses personnages hybrides inspirés du folklore nordique, réinvente ici les codes de Moynat. Le lapin espiègle Labubu, le rêveur Zimomo et le malicieux King Mon prennent vie sur les toiles de la maison parisienne, se mêlant aux monogrammes historiques du M Canvas. La collection comprend une série de sacs, Tote, Hobo, Mini 48h et le rare Mignon ainsi que de la petite maroquinerie et des accessoires de collection. L’ensemble mêle lignes iconiques, cuirs d’exception et la fantaisie graphique propre à l’artiste.
Pour marquer l’arrivée de la collection dans la capitale, la boutique Moynat du 34 avenue Montaigne a accueilli, le 25 octobre, une séance de dédicaces avec Kasing Lung. Clients, collectionneurs et amis de la maison ont pu échanger avec l’artiste dans une ambiance aussi ludique que raffinée. Parmi les invités, Léna Mahfouf, Daphné Bürki, Takashi Murakami, Alice Moitié, Hugo Dacquet, Morgane Miller, Loeva Soltani, Sasha Cortesi et Louise Parent ont célébré cette rencontre entre art contemporain et artisanat du luxe.
Né à Hong Kong en 1972, Kasing Lung a débuté comme illustrateur avant de conquérir le monde de l’art contemporain. Sa série The Monsters, née en 2015, a donné vie à un univers peuplé de créatures expressives et tendrement mélancoliques. De ses figurines cultes produites avec How2work et Pop Mart à ses expositions avec Kaikai Kiki Gallery de Takashi Murakami, Lung a su bâtir un langage visuel singulier où l’enfance rencontre la profondeur émotionnelle. En 2025, la série fête ses dix ans, une décennie d’imaginaire et de succès mondial.
La collection Moynat x Kasing Lung est disponible dès à présent dans les boutiques Moynat de l’Avenue Montaigne, Rue Saint-Honoré et au Bon Marché, à Paris. Un mariage parfait entre tradition et imagination, où chaque pièce devient une œuvre à part entière.
Crédit Photo : Christophe Coenon